J’espère que cette chronique à plusieurs voix nous, vous incitera à ne pas rester silencieux afin que nos voix, celles de tous, pas que des puissants et des médiatiques, puisse continuer à être entendue, et que devant nos micros on puisse entendre parler le français, l’occitan, le kurde ou le bambara, pour que dans nos studios puissent continuer à être présents, aussi bien des jeunes que des vieux, aussi bien des actifs que des retraités, aussi bien des marginaux que des associatifs, aussi bien des syndicalistes que des politiques, et aussi bien le Milou de Gissac que la Monique de Belmont.
Josef