la poésie du 18 mai
émission du 18/05/2013
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guerrière et printannière
Avant que le printemps ne se révèle, soldons le compte à une des activités préférées de l’espèce humaine c'est-à-dire la guerre par les mots de certains auteurs qui s’enquérirent de la chose, la bête, l’innomable qui pourtant … s’effacera devant les brins d’herbes qui repousseront sous le passage incessant des nuages azurés, blanchâtres ou grisonnants.
Première chanson : celle de Camille, “ au port ”
Nous ouvrons le bal de nos baïonettes par un extrait “ des chatiments ” de Victor hugo.
Et pour illustrer notre propos les Femouzes T chante “ la femme du soldat inconnu. ”
Premier extrait de Patrizia Cavalli suivi par la lecture de Jean-Louis Trintignant du texte de Boris Vian “ Monsieur le Président ”
A nouveau un poème bilingue italiano français
Un mixage qui débute par “ Bahia ” de Véronique sanson fondu dans “ art poétique ” de Robert Desnos qui poursuit sa diatribe seul avant d’être rejoint par “ mariavah ” de Véronique Sanson encore.
Deux extraits du livre “ mes poèmes ne changeront pas le monde ” de Patrizia Cavalli.
“ Marylin ” de Claude Nougaro
Là nous aurions dû croisé pour la deuxième fois le chat qui faisait son petit pipi dans le coquet jardinet de la pension bourgeoise … mais par une double erreur de transfert de fichier il a disparu. !!
Un morceau instrumental de Stéphane Eicher qui s’intitule “ Paris ”, pourquoi je ne sais.
Nous retrouvons Véronique Sanson seule cette fois ci avec sa mélodie de “ dam dam pour les michel ” … et pas pour les michelines sinon ça aurait fait tchou tchou … ! ! waf waf … !
Est passé à la trappe de l’omission technique par ma faute un délicieux enregistrement des lettres de Van Gohg à son frère Théo en flamant puis français.
Mais vous avez pu entendre à nouveau Svetlana Swimborska en bilingue anglais français qui nous mena jusqu’au bout de l’épi de blé.
Sans oublier un passage de Guy de Maupassant, non pas sur les coups de lunes ( cela sera pour plus tard ) mais sur les monceaux ferrailleux guerriers
Au cours de l’émission aussi une version française d’un poème de E E Cumming, poète des Etats-Unis qui joue beaucoup à segmenter les mots, les sens et à bousculer la syntaxe établie.
Un extrait brillant oenologique à la chute efficace des chroniques de la haine ordinaire de Pierre Desproges avec " l'aquaphile "
Place au printemps maintenant
Ah oui j’oubliai un poème composé par moi-même suite à une traversée nocturne lévézouesque.
A jouine prochain
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