Lissière de paysages et de mots… De Radio Saint Affrique à l’écriture…
ELSA DAUPHIN, Lissière de paysages et de mots.
Lire Elsa Dauphin, c’est lire une écriture sensible, fouillée, poétique et intimiste ; C’est aussi découvrir le monde qui nous entoure avec un regard qui ne porte pas de jugement, un regard qui invite à découvrir l’autre, les autres. Après la parution l’an passé de son livre « Envol », Elsa revient au micro de Dissonances pour évoquer son dernier ouvrage, « Captive », paru récemment aux éditions Lunatique.
Un roman où se croisent Léa et sa solitude volontaire ; Thierry un patron de restaurant ; deux gendarmes ; Pierre l’agriculteur sensible ; des années d’enfermement ; Odile, Geneviève et Sabrina, des colocataires non choisies ; d’insignifiants collègues de travail ; une petite maison protectrice et la respiration d’un atelier d’écriture.
Le tout avec une mise en parallèle du passé et du présent, sur fond de trilles d’oiseaux et de tirs de fusils de chasse. Un univers intimiste où l’auteur dit «tisser le paysage du nom des oiseaux ».
Dissonances vous invite à entendre Elsa Dauphin, lissière de paysages et de mots, se raconter, à travers ses paroles, mais aussi ses silences et ses rires….
Pour suivre le parcours d’Elsa Dauphin :
- http://www.dissonances.ovh/elsa-dauphin-une-ecriture-libre-et-engagee/
- http://www.dissonances.ovh/elsa-dauphin-la-compagnie-des-vaches/
Habillage musical :
- – Carmina Burana, Carl Orff ;
- – Dell’aura al sussurrar, Vivaldi par Cecilia Bartoli ;
- – Gnossienne, Erik Satie ;
- – Anda jaleo, par Rafael de Cordoba ;
- – De qu’esperam per esser fols (Misraki, Hornez), par Savignoni trio e lo papet ;
- – Chanson pour l’auvergnat, Brassens, par Gnawa ;
- – Las muecas, de et par Mascardi & Pustilnilk ;
- – La poésie contemporaine, de et par Léo Ferré